François Balcaen has always told stories...

His 28-year career in the motion picture film industry has given him an in-depth knowledge of storytelling as a visual art.  His attention to detail and strong cinematic style evoke his fundamental principal that above all, the emotions that lie within the narrative must rule…

His directing resume includes the documentary film “Marguerite:  Hier et Aujourd’hui”, an immensely moving account of the Grey Nuns 275 year history in Canada.  His follow up, “La Liberté” relives the often turbulent 100 year history of Manitoba’s only french language newspaper.  “Un Musée Pour L’Humanité”, finds a group of high school students discovering the world of human rights and by extension the founding of the Canadian Museum for Human Rights.

2017 witnessed the release of the adventure documentary mini-series “La Grande Traversée”. Highly anticipated and critically acclaimed, it chronicles the historic north Atlantic crossing by sail of 10 ordinary Canadians.  Bravely retracing their ancestor’s footsteps, their personal journeys unfold as they face high seas and low morale and attempt to travel from La Rochelle, France to reach the “New World”…

As a “raconteur”, François has the ability to draw both the audience and cast and crew alike into his world.   He inspires them all to follow him, as he interprets thru his lens, the misconceptions and preconceptions of our collective lives. 

François calls Winnipeg, Canada home.

François Balcaen a toujours raconté des histoires...

Ses 28 années de carrière dans l'industrie cinématogaphique lui ont permis d'acquérir une solide connaissance de l'art de raconter en images. L'attention qu'il porte aux menus détails et son style évocateur traduisent un principe fondamental chez lui; c'est toujours l'émotion tissée dans la trame narrative qui doit primer.

Son curiculum en tant que réalisateur inclut notamment le film documentaire «Marguerite: Hier et Aujourd'hui», un tribut extêmement touchant à la présence au Canada, durant 275 ans, de la communauté des Soeurs grises. Dans la foulée, «La Liberté» reconstitue les 100 ans de l'histoire parfois mouvementée de cet unique journal francophone du Manitoba. «Un Musée Pour l'Humanité» met en scène un groupe d'étudiants du secondaire, alors qu'ils découvrent l'univers des droits humains et, par ricochet, la fondation du Musée Canadien des Droits Humains.

2017 marque la diffusion très attendue de «La Grande traversée», une série documentaire d'aventure qui a été acclamée par la critique. Elle présente le voyage de dix Canadiens venus d'horizons divers, alors qu'ils suivent les traces de leurs ancêtres en effectuant la traversée historique de l'Atlantique nord, entre La Rochelle, en France, et le «Nouveau monde». Leur voyage à bord d'un grand voilier trois mâts les montrent sans artifices, tandis qu'ils affrontent bravement les tempêtes en mer, aussi bien que leurs tempêtes intérieures.

À titre de «conteur», François a cette rare faculté de réussir à entraîner dans son univers à la fois son équipe, ses personnages et le public. Il les incite à  adopter son interprétation toute personnelle des mythes et préjugés de notre société.

Pour François, la «maison» se situe à Winnipeg, au Manitoba.

This young French Canadian’s first exposure to film production came in the form of video workshops he attended while still in high school. 

In 1992 he produced and directed his first independent film, an interpretive short, inspired by the Richard Séguin song “Par delà l’océan”.

Les premiers contacts de ce jeune Canadien français avec la production cinématographique sont survenus lorsqu'il a suivi des ateliers de vidéo, alors qu'il était encore au secondaire.

En 1992, il a produit, tourné et réalisé son premier film indépendant, un court métrage librement inspiré de la chanson de Richard Séguin Par-delà l'océan.

François learned filmaking from the inside out.  

The early 90’s found him working as an editor for Radio-Canada and as a grip and camera assistant in Winnipeg, Manitoba, Canada.

A relocation to Toronto in 1994 would lead to other “dramatic” opportunities...

Only 21 years of age, yet sporting an uncanny level of maturity and experience, he was offered the Key Grip position on John Fawcett’s feature film “The Boys Club”.   This opportunity was the catalyst that would lead, over the next 14 years, to over 50 television and motion picture credits as a department head, including “The Lookout”, “The Haunting in Connecticut” and the Oscar winning “Capote”.

His ever evolving reputation as an innovative team player quickly led to him becoming a sought after Key Grip in Canada and internationally. 

François a appris tous les aspects de la production cinématographique.

Au début des années 1990, il a travaillé comme monteur à Radio-Canada, et comme machiniste et assistant-caméraman pour diverses productions à Winnipeg, au Manitoba (Canada).

En 1994, un déménagement à Toronto allait ouvrir la porte à de nouvelles et importantes occasions de travailler dans le milieu.

À seulement 21 ans, mais déjà doté d'un degré étonnant de maturité et d'expérience, il s'est vu offrir le poste de chef machiniste sur la production du film «The Boys Club» de John Fawcett. Cette expérience a agi comme un véritable cataliseur et l'a mené, au cours des 14 années suivantes, à participer à plus de 50 productions télévisuelles et cinématographiques, à titre de chef machiniste, notamment pour «The Lookout», «The Haunting in Connecticut», et «Capote», récipiendaire d'un Oscar.

De plus en plus reconnu comme un joueur très innovant au sein des équipes de production, il est rapidement devenu un chef machiniste très recherché au Canada et à l'internationale.